Abstract:
Livestock production in the tropics contributes significantly to climate change through enteric
emissions compared to in the developed continents. This is mostly attributed to the feed
quality, extensive production systems, and the husbandry practices employed in Africa. Efforts
to reduce these emissions have been the call in the recent parts, with prospects in finding
environmentally friendly feeding systems. The need to explore available feed resource with
potential for reduced emissions and increased production is paramount in Africa. This study
evaluated local intensified range grasses in Kenya in comparison to temperate feeds with
regards to in vitro CH4 emissions. Varying emission levels were noted from the test grass
species. Breeding could help reduced emissions as observed in Bracharia hybrid. A few
local grasses species have great potential like Panicum maximum and Cecnchrus celiaris
which showed lower CH4 emission, and higher digestibility compared to Bracharia and rye
grass. Future breeding efforts should consider local species and select for low enteric emission
potential for the benefit of our environment.
La production du bétail sous les tropiques contribue de manière significative au changement
climatique, et bien-sûr à travers les émissions entériques comparativement aux régions
développées. Ceci est principalement dû à la qualité des aliments, aux systèmes extensifs de
production et aux pratiques d’élevage utilisées en Afrique. Récemment, des efforts en faveur
de la réduction de ces émissions ont fait l’objet d’appel, avec comme perspectives
l’identification des systèmes d’alimentation respectueux de l’environnement. La nécessité
d’explorer les ressources alimentaires disponibles ayant un potentiel de réduction des
émissions et de production accrue est primordiale en Afrique. La présente étude a évalué
les émissions de CH4 in vitro des graminées locales intensifiées au Kenya en comparaison avec les aliments tempérés. Des niveaux d’émission variables ont été notés chez les graminées
testées. La sélection pourrait aider à réduire les émissions, comme cela a été révélé chez
l’hybride de Bracharia. Certaines espèces de graminées locales possèdent un grand potentiel
comme le Panicum maximum et Cecnchrus celiaris qui ont montré des émissions plus
faibles de CH4, et une digestibilité plus élevée que celle du Bracharia et du seigle herbe. Les
prochains travaux sur la sélection devraient tenir compte des espèces locales ayant un
faible potentiel d’émission entérique pour le bien être de notre environnement.
Language:
English
Date of publication:
2016
Country:
Region Focus:
East Africa
University/affiliation:
Volume:
14
Number:
3
Pagination:
341-344
Collection:
RUFORUM Working document series
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Web resource
Publisher:
ISSN:
1607-9345
E_ISSN:
Edition: