Pathways to secure smallholder farmer seed security

Abstract: 
The International Crops Research Institute for the Semi-Arid Tropics (ICRISAT) in partnership with several agencies in east and southern Africa have been testing and implementing different strategies to improve seed security of under invested dryland cereal and legume crops. ICRISAT’s approach focuses on improving the functionality of seed systems and allied productivity knowledge. Seed systems in this case refer to individuals, networks, institutions and organizations involved in the breeding, multiplication, processing, storage, distribution and marketing of seeds. Investments target two forms of seed systems namely: (a) Formal systems generally managed by seed companies, and (b) Informal systems generally managed through community initiatives by farmer and or civil society led initiatives, supplying quality declared seed. In general, the efficiency of any seed system is influenced by functional linkages between breeding pipelines for locally-adapted and farmer-preferred varieties, efficiency of seed production and delivery systems and effective technology transfer. The ICRISAT models aim to, among others (i) Improve production and availability of improved legume and dryland cereal improved seed to farming communities, (ii) Empower smallholder farmers especially women farmers, to access, use and control productive seed resources and opportunities, and (iii) Harness productivity enhancing knowledge and innovations to unlock genetic potential of new varieties. This paper highlights key achievements from investments over the last five years that included, among others, a) Establishment of a viable public-private partnership model that produced and delivered 8,184 MT and 124 MT of groundnut and pigeonpea certified seed respectively to Governments’ Farm Input Subsidy Program (over the period 2009-2014), and 54% of legume seed delivered by the private sector to farmers in Malawi, and b) Catalysing an eight-fold increase in early generation seed supply from 250 MT in 2009 to 2,000 MT in 2013; and produced 200 MT of pigeonpea certified seed for the first time for Malawi. In the two focus countries (Malawi and Tanzania), there has been overall strengthening of seed systems which has led to improved legume and cereal production and productivity, with wider benefits to smallholder farmers and the broader economy.
L’Institut International de la Recherche sur les cultures des zones tropicales semi-arides (ICRISAT), en partenariat avec plusieurs organismes en Afrique orientale et australe ont testé et mis en oeuvre des différentes stratégies pour améliorer la sécurité des semences des céréales et des légumineuses des zones arides ayant reçu peu d’investissement. L’approche de l’ICRISAT se concentre sur l’amélioration de la fonctionnalité des systèmes semenciers et les connaissances connexes de la productivité. Les systèmes semenciers dans ce cas se réfèrent à des individus, des réseaux, institutions, et organisations impliqués dans la reproduction, la multiplication, la transformation, le stockage, la distribution, et la commercialisation des semences. Les investissements ciblent deux sortes de systèmes semenciers (a) les systèmes formels généralement gérés par des sociétés semencières (b) les systèmes informels généralement gérés à travers des initiatives communautaires gouvernées soit par les agriculteurs ou la société civile fournissant des semences déclarées de qualité (QDS). En général, l’efficacité de tout système semencier dépend des liens fonctionnels entre les canaux de reproduction des variétés adaptées aux conditions locales et préférées par les agriculteurs, l’efficacité de la production de semences et les systèmes de livraison, et de transfert de technologie efficace. Les modèles de l’ICRISAT visent, entre autres (i) l’amélioration de la production et la livraison des semences améliorées des légumineuses et des céréales auprès des communautés agricoles des zones arides, (ii) l’autonomisation des agriculteurs ayant de petites exploitations en particulier les femmes, tel qu’ils aient l’accès, l’utilisation, et le contrôle des opportunités et ressources semencières productives, iii) l’utilisation des connaissances visant le renforcement de la productivité et des innovations pour débloquer le potentiel génétique de nouvelles variétés. Ce document met en évidence les principales réalisations des investissements au cours des cinq dernières années, qui comprennent, entre autres, a) la mise en place d’un modèle de partenariat public-privé viable qui a produit et livré respectivement 8,184 tonnes et 124 tonnes de semences certifiées d’arachide et du petit pois aux programmes gouvernementaux de subvention d’intrants aux fermiers (sur la période 2009-2014), et dont 54% des semences de légumineuses étaient fournies par le secteur privé aux agriculteurs au Malawi, et b) la catalyse d’une augmentation de huit fois l’approvisionnement en semences de première génération à partir de 250 tonnes en 2009 à 2000 tonnes en 2013; et la production de 200 tonnes de semences certifiées du petit pois pour la première fois au Malawi. Dans les deux pays cibles (Malawi et Tanzanie), il y a eu un renforcement global des systèmes semenciers ce qui a permis d’améliorer la production et la productivité des légumineuses et des céréales, avec des avantages plus larges pour les agriculteurs à petite exploitation et l’économie en général.
Language: 
Date of publication: 
2016
Country: 
Region Focus: 
Southern Africa
Volume: 
14
Number: 
Part 2
Pagination: 
371- 379.
Collection: 
RUFORUM Working document series
RUFORUM Conferences and Workshops
Agris Subject Categories: 
Licence conditions: 
Open Access
Access restriction: 
Form: 
Web resource
Publisher: 
ISSN: 
1607-9345
E_ISSN: 
Edition: