Abstract:
Sweetpotato is an important food security crop for millions of households in sub-
Saharan Africa. However, its production is constrained by a number of biotic, abiotic and
socioeconomic factors. The objective of this study was to assess and document the major
constraints to sweetpotato production in Ethiopia. The study also reviewed pre and post
harvest handling practices in Ethiopia. The study was conducted in three major sweetpotato
growing zones in southern Ethiopia using a participatory rural appraisal (PRA) methodology
involving 183 households. Heat and drought (21.6%), shortage of planting materials
(20.1%), shortage of land (15.7%), diseases (10.0%), insect pests (9.4%), a lack of draft
power (8.1%), shortage of money to cover input costs (7.9%), a lack of labour (5.1%) and
weeds (2.0%) were identified by the study as the major sweetpotato production constraints.
Poor access to markets (22.6%), poor market prices (19.1%), low yield (14.2%), low dry
matter content of storage roots of existing varieties (13.6%), a lack of knowledge about
sweetpotato processing and preservation (11.7%), access to processing equipment (11.1%)
and the logistics of transporting a heavy, bulky crop (7.7%) to market were identified as the
major post-harvest constraints. Most farmers stored sweetpotato root insitu but reported
challenges of heat (31.6%), insect pests (mainly weevils) (25.6%), diseases (21.8%) and
rodents (20.9%). The problem of low yield and low dry matter content can be solved through
breeding and agronomic interventions. Experience from other sweetpotato growing regions
demonstrate that socio-economic challenges can be overcome.
La patate douce est une culture importante de sécurité alimentaire pour de millions de
ménage en Afrique Sub-Saharienne. Toutefois, la production de la patate douce présente un
bon nombre de contraintes liées aux facteurs biotiques, abiotiques et socio-économiques.
L’objectif de cette étude est d’évaluer et de documenter les majeures contraintes de la production de la patate douce en Ethiopie. L’étude a réexaminé les pratiques de gestion
avant and après récolte. Elle a été conduite dans trois zones de production majeure de la
patate en utilisant une méthode d’évaluation rurale participative impliquant 183 ménages.
La température et la sécheresse (21,6%), le manque de matériel végétal (20,1%), le manque
de terre (15,7%), les maladies (10,0%), les pestes (9,4%), le manque de pouvoir de traction
(8,1%), le manque de financement pour les couts d’intrants (7,9%), le manque de maind’oeuvre
(5,1%) et les mauvaises herbes (2%), ont été identifiées comme contraintes
majeures de production de la patate. L’accès limité au marché (22,6%), les faibles prix des
marches (19,1%), le faible rendement (14,2%), le faible taux en matière sèche des racines de
stockage des variétés existantes (13,6%), un manque d’information sur la transformation et la
préservation (11,7%), l’accès aux équipements de transformation (11,1%) et les logistiques
de transport des récoltes aux marché (7,7%), ont été identifiées comme contraintes majeures
de post-récolte. La plupart des agriculteurs pratiquent le stockage in-situ, mais ont reporté
des contraintes liées à la chaleur (31,6%), les pestes (surtout les charançons) (25,6%), les
maladies (21,8%) et les rongeurs (20,9%). Les contraintes de faible rendement et de faible
taux en matière sèche, peuvent être résolues à travers les interventions agronomiques de
production. Les expériences des autres zones de production montrent que les contraintes
socio-économiques peuvent être résolues.
Language:
English
Date of publication:
2016
Country:
Region Focus:
South America
University/affiliation:
Volume:
14
Number:
4
Pagination:
199-205.
Collection:
RUFORUM Working document series
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Web resource
Publisher:
ISSN:
1607-9345
E_ISSN:
Edition: