Abstract:
The study aimed at determining the level of awareness about Maize Lethal Necrosis Disease in Bomet County in Kenya. Random sampling method was used to obtain a sample of respondents from a target household population of maize farmers. Structured questionnaire was used in collection of data and was subjected to R statistical software for analysis. The findings indicated that 54.8% of males were involved in decision making while 45.2% were females. Majority of the respondents 50% had attained their highest level of education as primary students, 35.8% were secondary schools holders, 8.8% had no formal education, while 5.4% had tertiary education level. Most dominant maize variety in Bomet County was DK777 grown by 97.5% of the farmers. It was also observed that a greater percentage of the farmers (77.5%) used crop rotation to control MLND in their farms, 55.0% applied the glow season strategy, 30% preferred clearing the weeds, 27.5% applied intercropping method whereas 22.5% of the farmers in this county applied spraying method to control the disease. There was no significance difference in the maize production between the sub counties (p-value 0.071). The correlation between maize yields and Maize Lethal Necrosis Disease indicated a negative relationship. Most of commercial maize cultivars grown were susceptible to MLND. This research recommended that MLND awareness be carried out in the County. Also, further screening of landraces and other genotypes for possible resistance to Maize Lethal Nesuosis Disease should be carried out.
Key words: Education, food sustainability, preferred varieties, resistance maize
L’étude visait à déterminer le niveau de sensibilisation à la nécrose létale du maïs dans le comté de Bomet au Kenya. Une méthode d’échantillonnage aléatoire a été utilisée pour obtenir un échantillon de répondants d’une population cible de ménages de producteurs de maïs. Un questionnaire structuré a été utilisé dans la collecte de données et a été soumis au logiciel statistique R pour analyse. Les résultats ont indiqué que 54,8% des hommes étaient impliqués dans la prise de décision, tandis que 45,2% étaient des femmes. La majorité des personnes interrogées 50% avaient atteint leur plus haut niveau d’éducation en tant qu’élèves du primaire, 35,8% étaient titulaires d’une école secondaire, 8,8% n’avaient pas d’éducation formelle, tandis que 5,4% avaient un niveau d’enseignement supérieur. La variété de maïs la plus dominante dans le comté de Bomet était DK777 cultivée par97,5% des agriculteurs. Il a également été observé qu’un plus grand pourcentage d’agriculteurs (77,5%) utilisaient la rotation des cultures pour contrôler la MLND dans leurs exploitations, 55,0% appliquaient la stratégie de saison de l’éclat, 30% préféraient l’élimination des mauvaises herbes, 27,5% appliquaient la méthode de culture intercalaire tandis que 22,5% des agriculteurs de ce comté ont appliqué une méthode de pulvérisation pour contrôler la maladie. Il n’y avait pas de différence significative dans la production de maïs entre les sous-comtés (p= 0,071). La corrélation entre les rendements du maïs et la nécrose létale du maïs indiquait une relation négative. La plupart des cultivars de maïs commercial cultivés étaient sensibles au MLND. Cette recherche a recommandé que la sensibilisation au MLND soit menée dans le comté. En outre, un dépistage plus poussé des races locales et d’autres génotypes pour une éventuelle résistance à la nécrose létale du maïs devrait être effectué.
Mots clés : éducation, durabilité alimentaire, variétés préférées, maïs résistant
Date of publication:
2018
Country:
Region Focus:
East Africa
University/affiliation:
Conference:
Volume:
17
Number:
2
Pagination:
366-369.
Collection:
RUFORUM Working document series
RUFORUM Conferences and Workshops
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Web resource
Publisher:
ISSN:
1607-9345
