Abstract:
This study utilised full Mahalanobis matching and a variety of propensity score
matching methods to adjust for pre-treatment observable differences between treated and
untreated groups for measuring the impact of technologies. Data were collected from 619
smallholder farmers in the districts of Nsanje and Balaka in southern Malawi during
2014-2015 cropping season. There was a 27% significant reduction in per capita
income as a result of farmer’s involvement in soil and water conservation technologies.
Similarly, there was an 8% reduction in per capita expenditure among farmers involved in
soil and water conservation technologies. Although households practicing the technologies
realized nominally higher yields, the yield differences between them and those not
practicing were non-significant. The study concluded that adoption of soil and water
conservation technologies did not improve the incomes of small-scale farmers in the study
areas. These results were surprising but could be attributed to a lack of technical expertise
in implementing soil and water conservation practices and a tendency of rural
impoverished respondents expectant to receive handouts to hold back information.
Despite these observations, there is need for increased effort to further explore soil and
water conservation technologies among rural households by providing technical
backstopping on their design and implementation.
Cette étude a utilisé la méthode complète d’appariement de Mahalanobis et une variété
de méthodes d’appariement des coefficients de propension pour ajuster le pré-traitement
des différences observables entre les groupes traités et non traités afin de mesurer l’impact
des technologies. Les données ont été recueillies auprès de 619 petits agriculteurs dans les
districts de Nsanje et Balaka au sud du Malawi au cours de la campagne agricole 2014-2015.
Il y avait une réduction significative de 27% du revenu par habitant en raison de l’implication
des agriculteurs dans les technologies de conservation des eaux sols et des sols. De même,
il y avait une réduction de 8% des dépenses par habitant parmi les agriculteurs impliqués
dans les technologies de conservation des eaux et des sols. Bien que les ménages pratiquant
les technologies ont réalisé des rendements théoriquement plus élevés, les différences de
rendement entre eux et ceux qui ne pratiquent pas les technologies étaient non significatifs.
De l’étude, il ressort que l’adoption des technologies de conservation des eaux et des sols
n’a pas amélioré les revenus des petits agriculteurs dans les zones d’étude. Ces résultats ont été surprenants, mais pouvaient être attribués à un manque d’expertise technique dans
la mise en oeuvre des pratiques de conservation des eaux et des sols et une tendance des
répondants à ne pas fournir les informations dans l’espoir de recevoir des aides. En dépit
de ces observations, il est nécessaire de redoubler d’efforts pour explorer davantage les
technologies de conservation des eaux et des sols parmi les ménages ruraux en fournissant
un appui technique pour leur conception et leur mise en oeuvre.
Language:
Date of publication:
2016
Country:
Region Focus:
Southern Africa
University/affiliation:
Volume:
14
Number:
Part 2
Pagination:
725 - 736.
Collection:
RUFORUM Working document series
RUFORUM Conferences and Workshops
Agris Subject Categories:
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Web resource
Publisher:
ISSN:
1607-9345
E_ISSN:
Edition: