Abstract:
The study examined the quality of raw cattle milk produced by smallholder farmers from
selected districts in central Uganda. Two major “quality indicators”, i.e., presence of
Salmonella spp. and Escherichia coli were considered. The colony forming units for
Salmonella spp. and E. coli were established following the standard plate count method.
Absolute certainty was achieved by subjecting sample isolates to Gram staining. Milk samples
were purposively collected at the respective milking times and tested in a laboratory using
serial dilutions of 10,000 and 100,000 mls for E. coli and Salmonella spp., respectively.
Analysis was done using the pour plate method on McConkey and dulcitol selenite agar
media for E. coli and Salmonella spp., respectively. Plates were incubated at 35oC and
data collected after 48 hours. There was a strong positive correlation (r = 0.9) between
experimental data and national standards for both Salmonella and E. coli. The t-test results
(P=0.05) for Salmonella (P=0.301) and E. coli (P=0.1206) were not significantly different
for different raw milk handling levels. Therefore, Salmonella and E. coli exist in smallholder
farmers’ raw milk in variable quantities, though not significant to affect the quality of milk.
Routine milker training and assigning responsibilities for all areas of prevention of
contamination on smallholder farms is a recommended practice. Periodic milk examination
to provide microbiological count records on the prevalence of E. coli and Salmonella spp.
at different milk handling chains is a practice that is recommended to all milk handlers.
La présente étude a examiné la qualité du lait brute des bovins produit par les petits exploitants
de quelques districts sélectionnés du centre de l’Ouganda. Deux ‘indicateurs de qualité’
majeurs, à savoir la présence de Salmonella spp. et Escherichia coli ont été considérés.
Les unités de colonie de Salmonella spp. et de E. coli ont été établies en suivant la méthode
de comptage sur plaque standard. La certitude absolue a été obtenue en soumettant les
isolats de l’échantillon à la coloration de Gram. Les échantillons de lait ont été collectés
pendant les périodes de traite et testés dans un laboratoire à l’aide des dilutions en série de
10000 et 100000 ml respectivement pour E. coli et Salmonella spp. L’analyse a été effectuée en utilisant la méthode de la plaque de coulée sur des milieux de gélose McConkey et de
sélénite au dulcitol respectivement pour E. coli et Salmonella spp. Les plaques ont été
incubées à 35°C et les données collectées après 48 heures. Il y avait une forte corrélation
positive (r = 0,9) entre les données expérimentales et les normes nationales pour Salmonella
et E. coli. Les résultats du test t (P = 0,05) pour Salmonella (P = 0,301) et E. coli (P =
0,1206) ne montraient pas de différence significative pour les différents niveaux de
manipulation du lait brute. Par conséquent, Salmonella et E. coli sont présents dans le lait
brut des petits exploitants en quantités variables, bien que non significatives pour influencer
la qualité du lait. La formation régulière des trayeurs et l’attribution de responsabilités dans
tous les domaines de la prévention de la contamination des petites exploitations agricoles
sont des pratiques recommandées. L’examen périodique du lait pour documenter les données
microbiologiques sur la prévalence de E. coli et de Salmonella spp. à différents niveaux de
manipulation du lait est recommandé à tous les entreprises laitières.
Language:
Abkhazian
Date of publication:
2016
Country:
Region Focus:
East Africa
University/affiliation:
Volume:
14
Number:
3
Pagination:
253-259
Collection:
RUFORUM Working document series
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Web resource
Publisher:
ISSN:
1607-9345
E_ISSN:
Edition: