Abstract:
In sub Saharan Africa (SSA), informal markets provide affordable animal-source foods to
large populations. However such foods carry hazards. The Safe Food, Fair Food Project was
implemented between 2008 and 2011 to develop capacity in participatory risk assessment
for improved food safety and enhanced market access by smallholder farmers in SSA. The
project was a collaboration between the International Livestock Research Institute (ILRI),
eight African universities, one African and three European advanced research institutes.
The Project was implemented in eight countries, Kenya, Tanzania, Ethiopia, Ghana, Côte
d’Ivoire, Mali, Mozambique and South Africa. Iterative training in participatory risk
analysis was provided to stakeholders and students. Food safety situational analysis and
risk assessment studies were conducted. Graduate fellows worked with communities to
assess food safety and provide advice on its management. These results were shared in
national workshops, followed by a global synthesis workshop. Findings of the study were
received by all stakeholders who concluded that i) informal food chains are important to
African economies and ii) food safety risks were less serious than previously perceived. Key
messages for universities and training of students to facilitate change at community level
included (i) working in multi-disciplinary teams and (ii) skills in participatory methods.
Key messages for improving institutional arrangements for effectively reaching farmers
include (i) importance of research consortia and (ii) need for long term involvement.
En Afrique subsaharienne, les marchés informels fournissent des aliments d’origine
animale à des prix abordables pour les populations. Cependant, ces aliments comportent
des dangers. Le projet Safe Food, Fair Food a été mis en oeuvre entre 2008 et 2011 pour
développer les capacités en matière d’évaluation participative des risques pour améliorer
la sécurité sanitaire des aliments et améliorer l’accès des petits exploitants au marché. Le
projet était mis en oeuvre en collaboration entre l’Institut international de recherche sur
l’élevage (ILRI), huit universités africaines, un institut africain et trois instituts européens
de recherche avancée. Le projet a été mis en oeuvre dans huit pays: le Kenya, la Tanzanie,
l’Éthiopie, le Ghana, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Mozambique et l’Afrique du Sud. Une
formation itérative à l’analyse participative des risques a été dispensée aux acteurs et
étudiants. Des études d’analyse situationnelle en matière de sécurité sanitaire des aliments
et d’évaluation des risques ont été menées. Les diplômés ont travaillé avec les communautés
pour évaluer la sécurité alimentaire et donner des conseils sur sa gestion. Ces résultats ont
été partagés lors des ateliers nationaux, suivis d’un atelier de synthèse globale. Les résultats
de l’étude ont été reçus par toutes les parties prenantes qui ont conclu que i) les chaînes
alimentaires informelles sont importantes pour les économies africaines et ii) les risques
de sécurité alimentaire étaient moins graves que précédemment perçu. Les principaux
messages pour les universités et la formation des étudiants pour faciliter le changement
au niveau communautaire comprenaient (i) le travail en équipes pluridisciplinaires et (ii)
les compétences en méthodes participatives. Les principaux messages pour améliorer les
arrangements institutionnels visant à atteindre efficacement les agriculteurs comprennent
(i) l’importance des consortiums de recherche et (ii) la nécessité d’une implication à long
terme.
Language:
English
Date of publication:
2016
Country:
Region Focus:
East Africa
Volume:
14
Number:
4
Pagination:
193-198.
Collection:
RUFORUM Working document series
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Web resource
ISSN:
1607-9345