Abstract:
Brucellosis is an infectious zoonotic disease caused by bacteria of the genera Brucella.
Brucellosis is mainly a disease of livestock infecting cattle, sheep, goats, pigs, dogs and
marine mammals. In humans, the disease is acquired directly or indirectly from infected
animals or animal products. Brucella species of public health concern are B. abortus, B.
melitensis, B. suis, B. canis, B. ovis and B. neotamae which cause disease both in animals
and human. Clinical symptoms include fever, headache, chills, depression, profound weakness,
weight loss and muscle and joint pain. If untreated, the infection persists and progresses to
a chronic illness that may present as endocarditis, epididymo-orchitis and infertility in males,
spontaneous abortion in females, neurobrucellosis and may result in death. Diagnosis of
human brucellosis is based on isolation of the bacteria from clinical specimens followed by
microscopy. This method may miss some positive specimens especially when the bacteremia
is low. Other methods include serology and molecular biology techniques. Serological test
are not internationally standardized, thus the sensitivity and specificity of the tests may be
unknown. Other limitations include cross reactivity of some tests with closely related bacteria
and inability to distinguish between active infection and previous exposure. These may lead
to false positive or false negative results, leading to poor clinical management of patients.
Molecular methods, such as polymerase chain reactions (PCR) are very sensitive and specific
but require expertise, are expensive and are unavailable in many clinical laboratories in
Kenya. This study will compare the sensitivity and specificity of the serological kits used
for Brucella diagnosis in health care facilities in Kenya with indirect enzyme immunosorbent
assay (ELISA) and the Rose Bengal test, tests that have been shown to have high sensitivity and specificity. Polymerase chain reaction will be used to confirm the Brucella-positive
samples and to identify the Brucella species affecting patients in the participating health
facilities. The study will provide information on the specificity, sensitivity and cost of each
diagnosis kit to the participating health facilities and to the Kenya Ministry of Health to help inform decisions on diagnosis of brucellosis in humans in Kenya.
La brucellose est une maladie zoonose infectieuse causée par des bactéries du genre
Brucella. La brucellose est une maladie touchant principalement l’élevage infectant les
bovins, les moutons, les chèvres, les cochons, les chiens et les mammifères marins. Chez
l’être humain, la maladie est acquise directement ou indirectement à partir d’animaux infectés ou des produits d’origine animale. Les espèces de Brucella qui interpellent la santé publique
sont B. abortus, B. melitensis, B. suis, B. canis, B. ovis et B. neotamae qui causent la
maladie chez les animaux et les êtres humains. Les symptômes cliniques sont la fièvre, des
maux de tête, des frissons, la dépression, la faiblesse profonde, la perte de poids et des
douleurs musculaires et articulaires. Si la maladie est non traitée, l’infection persiste et
progresse vers une maladie chronique qui peut se présenter comme l’endocardite,
orchiépididymite et l’infertilité chez les hommes, l’avortement spontané chez les femmes, la
neurobrucellose et peut entraîner la mort. Le diagnostic de la brucellose humaine est basé
sur l’isolement des bactéries à partir de prélèvements cliniques, suivie par microscopie.
Cette méthode peut manquer quelques spécimens positifs surtout quand la bactériémie est
faible. D’autres procédés comprennent la sérologie et des techniques de biologie moléculaire.
Les tests sérologiques ne sont pas normalisés au plan international, ainsi la sensibilité et la
spécificité des tests peuvent être inconnues. D’autres limitations incluent la réactivité croisée
de certains tests avec des bactéries et l’incapacité à faire la distinction entre l’infection
active et l’exposition précédente qui sont étroitement liés. Ceux-ci peuvent résulter à des
résultats faux positifs ou faux négatifs, conduisant à une mauvaise prise en charge clinique
des patients. Les méthodes moléculaires, tels que des réactions en chaîne de la polymérase
(PCR) sont très sensibles et spécifiques, mais nécessitent une expertise, et sont coûteux et
ne sont pas disponibles dans de nombreux laboratoires cliniques au Kenya. Cette étude
permettra de comparer la sensibilité et la spécificité des trousses sérologiques utilisés pour le diagnostic de Brucella dans les établissements de soins de santé au Kenya avec l’enzyme
indirect de dosage immunoenzymatique (ELISA) et le test au Rose Bengale, les tests qui
ont démontré une haute sensibilité et spécificité. La réaction en chaîne de la polymérase
sera utilisée pour confirmer les échantillons de Brucella positif et d’identifier les espèces de
Brucella affectant des patients dans les établissements s’ocupant de la facilités de santé.
L’étude fournira des informations sur la spécificité, la sensibilité et le coût de chaque kit de
diagnostic pour les établissements de santé, au ministère kenyan de la Santé pour aider à
prendre des décisions éclairées sur le diagnostic de la brucellose chez l’homme au Kenya.
Language:
English
Date of publication:
2014
Country:
Region Focus:
East Africa
University/affiliation:
Conference:
Collection:
RUFORUM Conferences and Workshops
Agris Subject Categories:
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Printed resource
Publisher:
ISSN:
E_ISSN:
Edition:
Extent:
537 - 541