Abstract:
Cocoa production in Nigeria is constrained by insect pests and
diseases. The brown cocoa mirid (Sahlbergella singularis),
the swollen shoot virus transmitted by mealy bugs and the black
pod disease (Phytophthora palmivora and P. megakarya)
are the biggest constraints of cocoa production. Pesticides have
been the cornerstone of managing these pests. However, their
use has been abused, resulting into excess residues in the
exported product. Consequently, the EU banned cocoa imports
from Nigeria unless acceptable chemicals were used and a
maximum allowed chemical residue adhered to. In response,
the government of Nigeria listed the approved chemicals for
use in cocoa production destined for the EU market. This study
was therefore carried out to assess the level of adoption of
these chemicals and factors affecting their adoption.
Membership to a cooperative society increased adoption. It is
therefore recommended that area farmers be encouraged to
join cooperative organizations and benefit from the collective
effort.
La production de cacao au Nigeria est limitée par les insectes
ravageurs et les maladies. Les mirides de cacao brun
(Sahlbergella singularis), le virus de pousse enflé transmis
par des cochenilles et la maladie de la pourriture brune
(Phytophthora palmivora et P. megakarya) sont les
principales contraintes de la production de cacao. Les pesticides
ont été la pierre angulaire de la lutte contre ces ravageurs.
Toutefois, leur utilisation n’a pas été fameuse à cause des
résidus en excès dans le produit exporté. Par conséquent, l’UE
a interdit les importations de cacao en provenance du Nigeria,
à moins que les produits chimiques acceptables soient utilisés
et un maximum autorisé de résidus chimiques soit respecté. En
réponse, le gouvernement du Nigéria a dressé la liste des
produits chimiques approuvés pour être utilisés dans la production
de cacao destiné au marché de l’UE. Cette étude a donc été menée pour évaluer le niveau d’adoption de ces produits
chimiques et les facteurs affectant leur adoption. L’adhésion à
une société coopérative a augmenté l’adoption. Il est donc
recommandé que les agriculteurs de la région soient encouragés
à adhérer à des organisations de coopération et de bénéficier
de l’effort collectif.