Abstract:
A cross-sectional survey was carried out using a researcher
administered structured questionnaire involving 344 smallholder
dairy households in Limuru and Nyandarua South Districts in
Central Kenya. The objective of the study was to establish
information access and preferences in delivery pathways by
smallholder dairy farmers. Information collected were number
of information providers, number of dairy topics accessed,
information pathways used and farmers’ preference of the
pathways in dissemination. Data were subjected to descriptive
statistics and analysed using analysis of variance. Pair-wise
comparison was applied to establish degree of difference in
preference. Results show that local language radio stations were
most accessible providers. In peri-urban Limuru, milk cooperative
societies and government extension were the main
sources of information while in rural South Kinangop, local
language radio stations, Agricultural training centres and other
progressive farmers were the main information providers. . Ttest
indicated significant difference (p<0.05) in rating of all the
four information pathways. Direct contact pathway was most
preferred and was not significantly (p<0.05) influenced by any
of the socio-economic factors investigated. Education level of
the farmers significantly influenced the number of dairy topics
accessed and significant differences established between
farmers with non-formal education compared to adult literacy,
primary, secondary and tertiary training. The study recommends
that information targeting and packaging should consider gender
concerns, education level in the dairy farming system paying
special attention to farmers with no formal education. Extension
should use local language radio in sensitisation and dissemination
of new dairy technologies. This should be complemented by
direct contact in field days, farmer field schools and use of
progressive farmers to train their contemporaries.
Une enquête d’échantillonnage a été réalisée à l’aide d’un
questionnaire structuré administré par le chercheur impliquant
344 ménages de petits exploitants des laiteries à Limuru et
Nyandarua dans les districts du Sud au centre du Kenya.
L’objectif de l’étude était d’établir l’accès aux informations et
les préférences dans les voies de livraison par les petits
producteurs laitiers. Les informations recueillies étaient le nombre
de fournisseurs d’information, le nombre de sujets laitiers
disponibles, des voies des informations utilisées et la préférence
des agriculteurs dans les voies de diffusion. Les données ont
été soumises à des statistiques descriptives et analysées en
utilisant une analyse de variance. La comparaison par paire a
été appliquée pour établir le degré de différence dans la
préférence. Les résultats montrent que les stations radio en
langues locales étaient des fournisseurs les plus accessibles.
Dans les zones périurbaines de Limuru, les sociétés coopératives
laitières et la vulgarisation par le gouvernement ont été les
principales sources d’information tandis que dans les régions
rurales du Sud de Kinangop, les stations radio en langues locales,
les centres de formation agricole et d’autres agriculteurs
progressistes ont été les principaux fournisseurs d’information.
Le test-T a indiqué une différence significative (p <0,05) dans
l’estimation de toutes les quatre voies d’information. La voie
de contact direct était la plus préférée et n’était significativement
(p <0,05) influencée par aucun des facteurs socio-économiques
étudiés. Le niveau d’instruction des agriculteurs a fortement
influencé le nombre de sujets laitiers disponibles et des
différences significatives établies entre les agriculteurs avec
l’éducation non formelle par rapport à l’alphabétisation des
adultes, primaires, secondaires et tertiaires de formation. L’étude
recommande que le ciblage et le conditionnement des
informations doivent tenir compte des questions de genre, du
niveau d’éducation dans le système de production laitière en
accordant une attention particulière aux agriculteurs qui n’ont
aucune éducation formelle. La vulgarisation doit utiliser la radio
en langue locale dans la sensibilisation et la diffusion de
technologies laitières nouvelles. Cela devrait être complété parle contact direct dans les jours du terrain, les écoles pratiques
d’agriculture et l’utilisation des agriculteurs progressistes pour
former leurs contemporains.
Extended abstracts submitted under Communication and Knowledge Management