Abstract:
In the last few decades, farmers have relied on synthetic pesticides to managed crop
pests and diseases. This is because synthetic pesticides are easily available, have quick
knock down effect, have varied modes of action and are reliable. However, some synthetic
pesticides are not easily degraded, they leave residues in crop products, are expensive,
are harmful to the user and are an environmental hazard. In addition, some pests and
disease pathogens have developed resistance to synthetic pesticides forcing farmers to
apply even more pesticides since the target markets demand aesthetically presentable
produce. Presence of residues in fresh vegetables has led to increased interceptions and
famers have been denied access to lucrative markets. This has led to increased monetary
losses, loss of market reputation and loss of income. Requirements by European and
local market on maximum residue levels (MRLs) of pesticides in vegetable produce
have resulted in reduced export and sale volumes due to non-compliance by small holder
growers. The main objective of this study will be to develop alternative pest and disease
management options in intensive smallholder vegetable production by incorporating
botanical and microbial biopesticides in IPM programmes for enhanced niche market
access. The objective of the study is to develop alternative pest and disease management
options in intensive smallholder French bean and tomato production by incorporating
botanical and microbial biopesticides in IPM programmes for enhanced niche market
access. Biopesticides are safe, are degradableand do not have negative effects on nontarget
organisms and the environment. The project evaluated the efficacy of plant
extracts and microbial antagonists in managing pests and diseases in French bean and
tomato. The comparative effectiveness of plant extracts andantagonistic fungi with the
synthetic pesticides and the commercialized antagonists and botanicals is proof that
the crude products have similar potential as the synthetic pesticides. Therefore, there is
need for further exploration of local environment for bio-active plants and organisms
be identified and screened for antimicrobial properties and formulated for inclusion in
IPM programmes. This will help the average farmer meet the production costs, have
higher income and at the same time have clean, safe and quality produce for high value
markets.
Au cours des dernières décennies, les agriculteurs dépendaient des pesticides synthétiques
pour lutter contre les ravageurs et les maladies des cultures. Ceci est attribué au fait que
les pesticides synthétiques sont facilement disponibles, ont un effet pesticide rapide, ont
des modes d’action variés et sont fiables. Toutefois, certains pesticides synthétiques ne
sont pas facilement dégradés, ils laissent des résidus dans les produits végétaux, sont
chers, sont nuisibles à l’utilisateur et pausent un danger pour l’environnement. En outre,
certains ravageurs et agents pathogènes ont développé une résistance aux pesticides
synthétiques obligeant les agriculteurs à appliquer davantage de pesticides puisque les
marchés cibles exigent des produits esthétiquement présentables. La présence des résidus
dans les légumes fraîches a entraîné une augmentation des interceptions et agriculteurs
se sont vus refuser l’accès à des marchés lucratifs. Cela a conduit à une augmentation
des pertes monétaires, la perte de réputation sur le marché et la perte de revenu. Les
exigences de marché européen et local sur les teneurs maximales en résidus (TMR) de
pesticides dans les produits végétaux ont donné lieu à l’exportation et à la vente des
volumes réduits en raison de non-respect par les petits exploitants agricoles. L’objectif
principal de cette étude était de développer des options alternatives de la de gestion des
ravageurs et des maladies dans la production intensive des haricots verts et des tomates
par de petits exploitants, en incorporant les biopesticides botaniques et microbiens dans
les programmes de lutte intégrée contre les ravageurs afin d’améliorer accès aux marchés
de niche. L’objectif de l’étude visait l’élaboration des options alternatives de gestion des
ravageurs et des maladies dans la production intensive des haricots verts et des tomates
par des petits exploitants en incorporant des biopesticides botaniques et microbiennes
dans les programmes de lutte intégrée contre les pestes pour un meilleur accès au marché
cible. Les biopesticides sont sûrs, dégradables et n’ont pas d’effets négatifs sur les
organismes non ciblés et l’environnement. Le projet a évalué l’efficacité d’extraits de
plantes et des antagonistes microbiens dans la gestion des ravageurs et des maladies des
haricots verts et des tomates. L’efficacité comparative entre des extraits de plantes et de
champignons antagonistes et les pesticides de synthétiques et les antagonistes
commercialisés et des plantes est la preuve que les produits bruts ont le même potentiel
que les pesticides synthétiques. Par conséquent, il est nécessaire de poursuivre
l’exploration de l’environnement local pour identifier et sélectionner les plantes et les
organismes bio-actifs ayant des propriétés antimicrobiennes et les formuler pour
l’inclusion dans les programmes de lutte intégrée contre les pestes. Cela aidera
l’agriculteur moyen à réduire le coût de production, augmenter le revenu, et en même
temps ont accès à des produits propres, sûrs et de qualité pour les marchés à forte valeur
ajoutée.
Language:
Date of publication:
2016
Country:
Region Focus:
East Africa
University/affiliation:
Volume:
14
Number:
Part 2
Pagination:
495 -501.
Collection:
RUFORUM Working document series
RUFORUM Conferences and Workshops
Agris Subject Categories:
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Web resource
Publisher:
ISSN:
1607-9345
E_ISSN:
Edition: