Abstract:
Lack of access to information and knowledge generated through
formal research has been identified as a major drawback to
adoption of agricultural technologies among smallholder farmers
in Zimbabwe. This study evaluated how farmers acquire, share
and use knowledge on integrated soil fertility management
(ISFM) for improved crop production and food security in Wedza
district of Zimbabwe. A questionnaire survey showed that
farmers’ preferred sources of ISFM information were national
government extension and farmer-farmer interactions, while
newspapers and non-governmental Organisations (NGOs) were
the least preferred. Learning-based meetings and field based
learning centres (LCs) constituted the major information and
knowledge sharing platforms. A logit regression analysis
revealed that uptake of ISFM technologies is influenced by
farmer resource group and farmers’ visit to LCs as a proxy for
interaction. Farmer experience, visits to LCs and access to
extension services were in turn the major factors influencing
farmers’ access to ISFM information. Extension, LCs and
farmer to farmer interactions were the prioritised methods of
farmer information knowledge sharing suggesting that support
is required for farmer knowledge platforms such as LCs that
provide a continuum for extension to farmer- farmer interactions.
Le manque d’accès à l’information et aux connaissances
générées par la recherche formelle a été identifié comme un
inconvénient majeur à l’adoption des technologies agricoles
parmi les petits exploitants agricoles du Zimbabwe. Cette étude
a évalué la façon dont les agriculteurs acquièrent, partagent et
utilisent des connaissances sur la gestion intégrée de la fertilitédu sol (GIFS) pour la production agricole améliorée et la sécurité
alimentaire dans le district de Wedza au Zimbabwe. Une enquête
par questionnaire a montré que les sources privilégiées de
l’information des agriculteurs sur la GIFS étaient la vulgarisation
du gouvernement national et les interactions agriculteursagriculteurs,
tandis que les journaux et les organisations nongouvernementales
(ONG) étaient les moins préférés. Les
rencontres basées sur l’apprentissage et les centres
d’apprentissage sur terrain (CAs) ont constitué les majeures
plates-formes de partage des connaissances et de l’information.
Une analyse de la régression Logit a révélé que l’adoption de
technologies de la GIFS est influencée par le groupe des
ressources agricoles et la visite des agriculteurs au CA comme
une procuration pour l’interaction. L’expérience des agriculteurs,
les visites aux CAs et l’accès aux services de vulgarisation ont
été tour à tour les principaux facteurs influant sur l’accès des
agriculteurs aux informations de la GIFS. La vulgarisation, les
CAs et les interactions entre agriculteurs ont été les méthodes
prioritaires de partage des connaissances et de l’information
entre les agriculteurs suggérant que le soutien est nécessaire
pour les plates-formes de connaissances des agriculteurs tels
que les CAs qui fournissent un continuum de l’extension pour
les interactions entre les agriculteurs.
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