Abstract:
Severe Acute Malnutrition (SAM) is reported to affect 19 million children under five years
worldwide. About 5% of children younger than five years in Uganda are wasted and 2% of
these children are said to be severely wasted. Community based management of Acute
Malnutrition is endorsed by UN as the public health approach to treatment of SAM. Studies
suggest that children who are previously cured of SAM remain at risk of relapse of SAM,
morbidity, mortality and growth faltering. There is no systematic follow up and monitoring of
children treated and discharged from SAM treatment. The shift from hospital based to
community based SAM treatment requires estimation of SAM burden for planning purposes.
The current guideline for estimating incidence rate is the use of a universal incidence
correction factor multiplied by prevalence rate. This incidence rate is then use to estimate
SAM burden. This approach could under- or overestimate SAM burden thus affecting
effective programme planning because of context specific factors. The aim of this literature
review is to highlight the challenges of the current guidelines for estimating SAM incidence
and SAM burden and their implications for programme planning. This review elucidates the
post-treatment outcomes among children aged 6-59 months and the long term effects of
SAM treatment on children in developing countries. This review also highlights programmatic
and research gaps if addressed would enhance the operational response to SAM in developing
countries. Research method for this study was a literature review and content analysis.
Published articles on SAM incidence, post-treatment outcomes estimation of SAM incidences
and burden were identified on Pubmed, Google search, Google scholar and websites of the
Nutrition field exchange networks like CMAM forum and ENN. Publications on WHO and
UNICEF websites were also reviewed. Experts were contacted to identify published and
unpublished references. The review found that HIV infection, discharge from treatment
when not fully recovered, not fully vaccinated for age, low dietary intake of oil, seasonality
of food insecurity and severity of SAM at admission increased risk of post-treatment relapse,
death and morbidity. Children with history of SAM treatment had linear growth deficits,
functional deficit of weaker hand grip and less able to perform an exercise test compared
with their control. These children have a high risk of Non-Communicable Diseases. The literature also revealed no prospective studies have been conducted on SAM incidence;
however few secondary analyses have been conducted to determine SAM incidence. A
meta-analysis showed that incidence correction factor varied across three West African
countries; thus the recommended incidence correction factor of 1.6 could not be generalised
to every context. Context specific estimation of SAM burden is needed to address operational
needs. The relationship between wasting and stunting and the indicative risk of NCD is a
great concern which needs further investigations.
La Malnutrition aiguë sévère (SAM) est signalée pour avoir affecté plus de 19 millions
d’enfants de moins de cinq ans dans le monde entier. Environ 5% d’enfants de moins de
cinq ans en Ouganda sont touchés et 2% de ces enfants sont dit être sévèrement affectés.
La gestion communautaire de la malnutrition aiguë est approuvée par l’ONU comme
l’approche de santé publique pour le traitement de la SAM. Des études suggèrent que les
enfants qui sont déjà guéris de SAM demeurent à risque de rechute de la SAM, de la
morbidité, de la mortalité et des problèmes de croissance. Il n’y a pas de suivi systématique
des enfants traités et guéris par le traitement SAM. Le passage à l’hôpital de basé vers la
communautaire de base pour le traitement SAM exige une estimation du SAM à des fins de
planification. La recommandation actuelle pour estimer le taux d’incidence est l’utilisation
d’un facteur de correction d’incidence universelle multiplié par le taux de prévalence. Ce
taux d’incidence est alors utilisé pour estimer le fardeau de SAM. Cette approche pourrait
sous-estimer ou surestimer la charge de SAM affectant ainsi une planification efficace du
programme en raison de facteurs spécifiques au contexte. Le but de ce travail est de mettre
en évidence les défis des lignes directrices actuelles pour estimer l’incidence de SAM, ses
charges et ses implications pour la planification des programmes. Cet avis élucide les résultats
post-traitement chez les enfants de 6-59 mois et les effets à long terme du traitement de
SAM sur les enfants dans les pays en développement. Cet avis met également en évidence
les lacunes de la programmation et de recherche si elles sont abordées amélioreraient la
réponse opérationnelle à SAM dans les pays en développement. La méthode de recherche
utilisée pour cette étude était une revue des écrits et une analyse de contenu. Les articles
publiés sur l’incidence de SAM, les résultats des estimations post-traitement des incidences
SAM et de la charge ont été identifiés sur Pubmed, recherche Google, Google scholar et
des sites d’Internet des réseaux d’échange sur le terrain de la nutrition comme forum PCMA
et ENN. Les publications sur les sites Web de l’OMS et de l’UNICEF ont également été
examinées. Les experts ont été contactés pour identifier les références publiées ou non.
L’examen a révélé que l’infection par le VIH, le rejet d’un traitement lorsqu’on n’est pas
complètement rétabli, ne pas être complètement vaccinés selon l’âge, le faible apport
alimentaire de l’huile, la saisonnalité de l’insécurité alimentaire et de la gravité du SAM à
l’admission, risque accru de post-traitement des rechutes, et s’en suit la mort et la morbidité.
Les enfants ayant des antécédents de traitement de SAM avaient des déficits de croissance
linéaire, des déficits fonctionnels d’adhérence plus faible de la main et moins en mesure
d’effectuer un test d’exercice par rapport à leur contrôle. Ces enfants ont un risque élevé de maladies non transmissibles. Les écrits ont également révélé aucune étude prospective
n’a été menée sur l’incidence de SAM; cependant, quelques analyses secondaires ont été
menées pour déterminer l’incidence de SAM. Une méta-analyse a montré que le facteur de
correction d’incidence variait de trois pays d’Afrique de l’Ouest; ainsi l’incidence facteur
de correction recommandée de 1,6 ne pouvait pas être généralisée à tous les contextes. Le
contexte estimation spécifique de la charge de SAM est nécessaire pour répondre aux
besoins opérationnels. La relation entre le gaspillage et le retard de croissance, et le risque
indicatif de NCD, sont une grande préoccupation qui ont besoin de nouvelles enquêtes.
Language:
English
Date of publication:
2016
Country:
Region Focus:
East Africa
University/affiliation:
Journal:
Volume:
14
Number:
Part 1
Pagination:
479-487
Collection:
RUFORUM Working document series
RUFORUM Conferences and Workshops
Agris Subject Categories:
Agrovoc terms:
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Web resource
Publisher:
ISSN:
1607-9345
E_ISSN:
Edition: