Abstract:
The Agriculture Research Institute of Mozambique (IIAM) with its national research
networking has been working in a collaborative manner with the Agricultural Science and
Technology Indicators (ASTI) initiative. ASTI is an initiative of IFPRI with a mandate to
compile, process, analyze, and publish data on institutional developments, investments, and
capacity in agricultural R&D at national, regional and international levels. The IIAM as the
major national research organization signed an agreement with ASTI/IFPRI to coordinate
the ASTI surveys within the country. The first joint survey jointly conducted between IIAM
and ASTI in 2009 provided data from 2004-2008 which was used to used as part of
information presented in the Country Note published in 2010. The second survey conducted
in 2012 provided data from 2009-2011 and the country factsheet was published in 2014.
These documents are valuable to many stakeholders especially since they present science
and technology (S & T) indicators. These S&T indicators are of paramount importance in
formulating policy, setting priorities and providing information for governments, policy research
institutes, universities and private sector organizations involved in agricultural S&T. The
data collected from the two highlighted above consisted of human and financial resources
as well as research focus captured from IIAM, Fishery Research Institute (IIP), and Higher
Education Agencies ( Faculdade de Agronomia e Engenharia Florestal , Faculdade de
Veterinaria , Escola Superor de Ciências Marinhas e Costeiras, Instituto Superior Politécnico de Gaza e de Manica) . The calculations of human resources and financial data were
based on full - time equivalent (FTE) researchers, which take into account the proportion of
time staff actually spend on research compared with other activities. The financial data is
presented in 2005 local currency and 2005 purchasing power parity (PPP) dollars. Some of
the key issues that were observed from the data collected include: Public spending on
agricultural research and development (R&D) increased by 14% from 2008 to 2011 primarily
driven by rising salary costs and capital investments. Despite the overall growth the research
intensity ratio decreased meaning that a low share of AgGDP was dedicated to agriculture
research; (b)Agricultural R&D is highly dependent on donor funding the share of which
fluctuated from 62 to 40 percent over 2004-2011 period from government agencies. Donor
funding is declining due to domestic policy shifts combined with economic pressures in
donor countries; and, (c)The total number of agricultural researchers grew steadily from
2004 to 2011. However these researchers are relatively younger and less qualified compared
with other countries within the region.The key challenges and recommendations derived
from these analyses are related to improvement on financing and human resources.
Agricultural research depends crucially on quite volatile and short-lived external funds. There
is a need to reduce the financial gap for research. Although, the last three years has seen a slight increase from the government, the share could be improved and disbursements should
be more regular and not dependent on agricultural campaigns as is customary in the country.
Long term results can only be achieved with sustained investment by the government. On
the other hand there can be no research without improvements in human capital. There is a
need to invest more in education, training and retention of researchers. The number of
researchers with PhDs should grow, especially younger researchers. This can only be
achieved with a robust national plan for human resource development and establishment of
strategic alliances with national, regional and international high educational institutions to
take advantage of training opportunities offered as well as the creation of strategies and
mechanisms of motivation and retention of researchers in public organizations.
L’Institut de Recherche Agricole du Mozambique (IIAM) avec son réseau national de
recherche a travaillé dans un esprit de collaboration avec ASTI («Agricultural Science and
Technology Indicators Initiative »- L’Initiative des Sciences Agricoles et Indicateurs
Technologiques). L’ASTI est une initiative de l’IFPRI avec un mandat de colliger, traiter,
analyser et publier les données sur les développements institutionnels, les investissements et
la capacité en R & D agricole aux niveaux national, régional et international. En tant
qu’organisme principal de recherche national, l’IIAM a signé un accord avec l’ASTI /
IFPRI pour coordonner les enquêtes ASTI à l’intérieur du pays. Le premier tour de l’enquête
conjointe avec l’ASTI menait en 2009 avait fourni des données de 2004 à 2008, qui ont été
publiées en 2010 dans un document national. Le deuxième volet de l’enquête menée en
2012 avait utilisé des données de 2009 à 2011 et la fiche d’information de pays a été publiée
en 2014. Les indicateurs de S & T sont d’une importance primordiale dans la formulation
des politiques, de la définition des priorités et la source des informations pour les
gouvernements, les instituts de recherche sur les politiques, les universités et les organisations
du secteur privé impliqués dans S & T. agricole. Ainsi, la présente affiche nous avons
l’intention de résumer et d’informer sur les tendances récentes en matière de ressources
financières et humaines pour la R & D au sein de la période d’étude. Les données recueillies
à partir des deux enquêtes étaient composés de ressources humaines et financières ainsi
que l’accent sur la recherche. Toutes ces données ont été collectées à partir d’IIAM, Institut de Recherche Halieutique « Feshery Research Institute »(IIP), et les Organismes
d’Enseignement Supérieur (Faculdade de Agronomia e Engenharia Florestal, Faculdade de
Veterinaria, Escola Superor de Ciências Marinhas e Costeiras, Institut Superieur
Polytechnique de Gaza de Manica). Les calculs des ressources humaines et les données
financières ont été fondés sur l’équivalent en temps plein (« FTE »ETP) des chercheurs,
qui tiennent compte de la proportion de temps que les employés utilisent effectivement sur la
recherche par rapport à d’autres activités. En 2005 les données financières ont été présentées
en monnaie locale, avec la parité de pouvoir d’achat de dollars (PPP). Pour la période
d’étude, les principales conclusions peuvent être résumées comme suit: (i) les dépenses
publiques pour la recherche agricole et le développement (R & D) ont augmenté de 14%
entre 2008 et 2011, principalement guidé par la hausse des coûts salariaux et des investissements de capitaux. En dépit de la croissance globale, le taux de l’intensité de la
recherche a diminué, ce qui signifie que la faible part de PIB agricole a été consacrée à la
recherche sur l’agriculture, (ii) R & D agricole est fortement tributaire de financement des
donateurs, avec une fluctuation des actions de 62 à 40 pour cent au cours de la période de
2004 à 2011 pour les agences du gouvernement. Le financement des donateurs est en
baisse en raison de changements de politique intérieure, combiner avec les pressions
économiques dans les pays donateurs, et (iii) le nombre total de chercheurs agricoles a
augmenté régulièrement de 2004 à 2011. Toutefois, ces chercheurs sont relativement plus
jeunes et moins qualifiés par rapport aux autres pays de la région. Les principaux défis et
recommandations issues de ces analyses sont relatifs à l’amélioration du financement et des
ressources humaines. La recherche agricole dépend essentiellement de fonds externes très
volatiles et éphémères. Il est nécessaire de réduire l’écart financier pour la recherche. Bien
que les trois dernières années aient vu une légère augmentation de la part du gouvernement,
la part pourrait être améliorée et les décaissements devraient être plus réguliers et ne pas
dépendre de campagnes agricoles comme c’est la coutume dans le pays. Les résultats à
long terme ne peuvent être atteints avec des investissements soutenus par le gouvernement.
D’autre part, il ne peut y avoir de recherche sans amélioration du capital humain. Il est
nécessaire d’investir davantage dans l’éducation, la formation et la rétention des chercheurs.
Le nombre de chercheurs titulaires d’un doctorat devrait croître, en particulier les jeunes
chercheurs. Cela ne peut être réalisé qu’avec un plan national solide pour le développement des ressources humaines et la création d’alliances stratégiques avec des établissements
d’enseignement supérieur nationaux, régionaux et internationaux , pour tirer parti des
possibilités de formation offertes ainsi que la création de stratégies et de mécanismes de
motivation et de rétention des chercheurs dans les organisations publiques.
Language:
English
Date of publication:
2104
Country:
Region Focus:
Southern Africa
Collection:
RUFORUM Conferences and Workshops
Agris Subject Categories:
Agrovoc terms:
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Printed resource
Publisher:
ISSN:
E_ISSN:
Edition:
Extent:
621 - 623