Gender and diversity among staff of Public Universities in Kenya

Abstract: 
Diversity refers to the differences between individuals because of differences in race, culture, age, social status, gender, religion, disability and personal values and belief systems. Diversity management is a voluntary process that involves designing formal or informal social and organizational programs to foster inclusion and respect among employees. The objective of this study was to determine the gender and diversity of academic staff at public universities in Kenya. The study adopted a cross-sectional census survey that targeted 22 public universities accredited and operating in Kenya. The study found that gender imbalance, ethnicity and nepotism were common and may undermine inclusivity and the quality of teaching, learning and research, which are the core business of universities. This paper analyses the gender and diversity of staff at public universities in Kenya. It concludes that while the country has put in place legislation, policies and institutions to deal with gender disparities, and lack of inclusion of people living with disability and coming from minority groups from employment in public universities, this is not enough. There is need for more robust supportive mechanisms to be put in place to assure inclusivity of these groups into the university work place.
La diversité se réfère aux différences entre individus en termes de race, de culture, d’âge, de statut social, de sexe, de religion, d’handicap, de valeurs personnelles et de systèmes de croyance. La gestion de la diversité est un processus volontaire impliquant la conception de programmes sociaux et organisationnels formels ou informels pour favoriser l’inclusion et le respect entre employés. L’objectif de cette étude était de déterminer le genre et la diversité du personnel académique dans les universités publiques du Kenya. Une enquête transversale de recensement ciblant 22 universités publiques accréditées et opérant au Kenya a été adoptée. L’étude a révélé que le déséquilibre au sein du genre, l’appartenance ethnique et le népotisme étaient courants et pouvaient compromettre la qualité de l’enseignement, de l’apprentissage et de la recherche; qui sont au coeur des activités des universités. Il est conclu que la mise en place d’une législation, des politiques et des institutions pour faire face aux disparités entre les sexes, et au manque d’inclusion des personnes handicapées et provenant de groupes minoritaires dans les universités publiques, ne suffit pas. Des mécanismes de soutien plus robustes doivent être mis en place pour assurer l’inclusion de ces groupes dans le milieu universitaire.
Language: 
English
Date of publication: 
2018
Country: 
Region Focus: 
East Africa
Volume: 
15
Pagination: 
75-91.
Collection: 
RUFORUM Working document series
Licence conditions: 
Open Access
Access restriction: 
Form: 
Web resource
Publisher: 
ISSN: 
1607-9345
E_ISSN: 
Edition: