Abstract:
This study was conducted to assess honeybee production practices in Sekota district, northern Ethiopia.
The district comprises a total of 33 kebeles (peasant associations at the lowest admistrative level)
which were classified into three highland (1800-2200 m.a.s.l.), 24 midland (1500-1800 m.a.s.l.) and six
lowland (<1500 m.a.s.l.) areas. From these, two, four and three kebeles were randomly selected from the
highland, midland and lowland areas, respectively. A total of 90 beekeeping households were selected
purposively: ten from each kebele based on their experience in keeping honeybees and involvement in
extension activities. Primary data were collected through household interviews and key informants using
a semi-structured questionnaire. Quantitative and qualitative data were collected on household profiles,
number and types of hives used, type of beekeeping equipment used, honeybee floras, honey flow season,
honey yield and price of honey. The quantitative data generated were analyzed using the SPSS software
and qualitative data obtained were summarized in the form of tables. Results indicated that there were
three types of honeybee production methods which are traditional, transitional and modern production
and the beehives were exclusively kept in backyards in all production methods. Although, Zander
modern hives were recently introduced in the area, modern beekeeping method attracted the attention
of most beekeepers. As a result many farmers were shifting to box hive beekeeping activity. The price
of honey increased from 2.3 and 3.1 to 3.9 and 5.2 US$/kg for crude red honey and pure white honey,
respectively over the four-year period ( 2011-2014). The most important sources of honeybee forage
(in terms of preference by honeybees and abundance) were: Becium grandiflorum, Euclea shimperi,
Sorghum bicolor, and Echinops spp. Others were Acacia tortolis, Acacia seyal, Acacia asak, Terminalia
glaucescens, Hypoestes trifolia, Ocimum bacilicum, Aloe spp., Bidens spp., Euphorbia spp. and Vicia
faba. It was further revealed that majority of the important honeybee floras in the area flower between
August and September. Ocimum bacilicum was the dominant swarm attractant plant used while dried
cattle dung was the most used smoking material in all the agro-ecologies. Returning the swarm back to
colony as a method of controlling swarming was rarely practiced since the honeybee colonies were very
important income sources for the household economy as the colonies can be sold at satisfactory price (up
to 400 Ethiopian Birr/colony). For sustainable apicultural development in the area, provision of training
to beekeepers on colony management and establishing market linkages of producers with processors and
exporters is important. Moreover, research on the effects of materials used as smoker fuels (materials
used for smoking during hive inspection) and swarm attractants on the quality of honey is required.
Cette étude a été réalisée pour évaluer les pratiques de production d’abeilles dans le district de Sekota, dans
le nord de l’Éthiopie. Le district comprend un total de 33 associations paysannes au niveau administratif
plus bas, qui ont été classés dans trois régions montagneuses (1800-2200 m.a.s.l.), 24 dans le centre-ville
(1500-1800 m.a.s.l.) et six zones de plaine (<1500 m.a.s.l.). À partir de ces associations, deux, quatre
et trois associations ont été choisies au hasard parmi les régions montagneuses, moyennes et basses
terres, respectivement. Au total, 90 ménages apicoles ont été choisis à dessein: dix de chaque association
en fonction de leur expérience dans la conservation des abeilles et l’implication dans les activités de
vulgarisation. Les données primaires ont été collectées au moyen d’entretiens chez les ménages et personne ressources utilisant un questionnaire semi-structuré. Des données quantitatives et qualitatives ont été
collectées sur les profils des ménages, le nombre et les types de ruches utilisées, le type d’équipement
d’apiculture utilisé, les fleurs, la saison d’écoulement, le rendement et le prix du miel. Les données
quantitatives générées ont été analysées à l’aide du logiciel SPSS et les données qualitatives résumées
sous forme de tableaux. Les résultats indiquaient qu’il existe trois types de méthodes traditionnelles de
production d’abeilles domestiques, de transition et de production moderne. Bien que les ruches modernes
de Zander aient récemment été introduites dans la région, la méthode de l’apiculture moderne a attiré
l’attention de la plupart des apiculteurs. En conséquence, de nombreux agriculteurs se tournent vers
apiculture. Le prix est passé de 2,3 et de 3,1 à 3,9 et de 5,2 US $ / kg pour le miel rouge brut et le miel
blanc pur, respectivement sur une période de quatre ans. Les principales sources de fourrage d’abeille (en
termes de préférence et abondance) étaient: Becium Grandiflorum, Euclea shimperi, Sorghum bicolor et
Echinops spp. Aussi la majorité des ressources florales importantes des abeilles dans la région fleuraient
entre août et septembre. Retourner l’essaim à la colonie comme méthode de contrôle était rarement
pratiqué puisque les colonies d’abeilles étaient des sources de revenus très importantes pour l’économie
domestique, car les colonies pouvant être vendues à un prix satisfaisant. Pour un développement durable
de l’apiculture dans la région, il est important de former les apiculteurs sur la gestion des colonies et
d’établir des liens de marché avec les transformateurs et les exportateurs. En outre, des recherches sur
les effets des matériaux utilisés comme combustibles pour créer la fumée et les atouts de l’essaim sur la
qualité du miel sont nécessaires.
Language:
English
Date of publication:
2017
Country:
Region Focus:
North Africa
University/affiliation:
Journal:
Volume:
2
Number:
2
Pagination:
263-275
Collection:
RUFORUM TAGDev Resources
RUFORUM Journal Articles
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Web resource
Publisher:
ISSN:
2415-2838
Notes:
Publication of this article has been made possible through the Transforming African Agricultural Universities to meaningfully contribute to Africa’s growth and development (TAGDev) Project funded by MasterCard Foundation.