Abstract:
This experiment was carried out at Gezira University Poultry
Farm to evaluate the effect of adding papaya dry leaves to offlayer
chicken diet before slaughter. Forty eight hens were used,
half of them fed a concentrate ration containing 10% dried
papaya leaves (DPL), and the other half fed a normal layer
ration (Control) for ten days. After slaughter two methods of
cooking were used (oven and moist cooking). The cooked parts
(breast, thigh and drumstick) were subjected to a panel test
evaluation according to a designed questionnaire. Results
showed that addition of dried papaya leaves powder to spent
layer hens ration significantly (p< 0.05) increased the level of
meat tenderness. There were significant (p<0.05) differences
among the different parts (breast, thigh and drumstick) and
between different treatments for the different sensory
attributes. Moist cooking had significantly (p<0.05) improved
meat tenderisation compared to oven cooking in both
experiments. There was no significant difference (p> 0.05) with
respect to application time.
Cette expérience a été réalisée à la ferme avicole de l’université
de Gezira pour évaluer l’effet de l’ajout de feuilles sèches de
papayer à l’alimentation des poules non-pondeuses avant
l’abattage. Quarante-huit poules ont été utilisées, la moitié d’elles
recevait une ration concentrée contenant 10% de feuilles de
papayer séchées (DPL), et l’autre moitié recevait une ration
normale des pondeuses (contrôle) pendant dix jours. Après
l’abattage, deux méthodes de cuisson ont été utilisées (la cuisson
au four et la cuisson humide). Les parties cuites (la poitrine, la
cuisse et le pilon) ont été soumises à une évaluation sous forme
de test selon un questionnaire conçu. Les résultats ont montré
que l’addition de la poudre des feuilles sèches de papayer à la
ration dépensée des poules pondeuses a augmenté de manière
significative (p <0,05) le niveau de tendresse de la viande. Il yavait des différences significatives (p <0,05) entre les différentes
parties (poitrine, cuisse et pilon) et entre les différents traitements
pour les différents attributs sensoriels. La cuisson humide avait
significativement (p <0,05) amélioré l’attendrissage de la viande
par rapport à la cuisson au four dans les deux expériences. Il
n’y avait pas de différence significative (p> 0,05) par rapport
au temps d’application.
Extended abstracts submitted under Enhancing Livestock Productivity