Abstract:
This paper discusses the liberalisation of higher education as under the General Agreement
on Trade in Services (GATS) signed by member countries of the World Trade Organisation.
The impact of commercialisation of higher education sector on the quality of education
in sub-Saharan Africa is presented. The liberalization resulted in drastic expansion of
higher education with significant decrease in public expenditure on education while
private providers were interested more in money making than education quality. The
liberalisation has resulted in a policy vacuum for the management of liberalisation of
higher education. Individual households account for the major contribution for higher
education funding which as a result is accessible to youths from privileged families. The
proportion of university going-age youths in universities in sub-Saharan Africa is only 6%
while the global average is 29%. Many graduates from these universities unfortunately
cannot compete in the local as well as global labour market. For Africa to provide cost
effective equitable quality education and produce skilled youths for the global and local
labour markets, in desired quantity, the best option is to adopt technology led open learning
and distance education in addition to the conventional delivery mode.
Ce document traite de la libéralisation de l’enseignement supérieur dans le contexte de
l’Accord Général sur le Commerce des Services (AGCS) signé par les pays membres
de l’Organisation Mondiale du Commerce. L’impact de la commercialisation du secteur
d’enseignement supérieur sur la qualité de l’éducation en Afrique subsaharienne est
présenté. La libéralisation a entraîné l’expansion radicale de l’enseignement supérieur
avec une diminution significative des dépenses publiques d’éducation tandis que les
fournisseurs privés sont intéressés plus à gagner de l’argent que la qualité de l’éducation.
La libéralisation a entraîné un vide des politiques pour la gestion de la libéralisation de
l’enseignement supérieur. Les ménages individuels représentent la contribution majeure
dans le financement de l’enseignement supérieur qui est plus accessible aux jeunes
issus de familles mieux privilégiées. La proportion de jeunes universitaires en âge de
commencer l’enseignement universitaire en Afrique sub-saharienne est à seulement
6%, alors que la moyenne mondiale est de 29% et les diplômés de ces systèmes ne
sont pas aptes à la concurrence dans les locaux ainsi que le marché mondial du travail.
Pour que l’Afrique fournisse une éducation de qualité rentable et équitable, et produise des jeunes qualifiés pour les marchés mondiaux et locaux du travail, en quantité
souhaitée, la meilleure option est d’adopter l’enseignement ouvert et l’enseignement
à distance basé sur la technologie en plus du mode classique d’enseignement.
Language:
Date of publication:
2016
Country:
Region Focus:
East Africa
University/affiliation:
Volume:
14
Number:
Part 2
Pagination:
1-7.
Collection:
RUFORUM Working document series
RUFORUM Conferences and Workshops
Agris Subject Categories:
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Web resource
Publisher:
ISSN:
1607-9345
E_ISSN:
Edition: