Abstract:
Despite recent policies for optimizing sustainable management of fisheries, their success
has been modest in practice. Excessive fishing effort and use of unsustainable fishing methods
attributed to common-property of and free access to the resources by local and industrial
fleets leading to decline in fish catches has continued in the presence of currently prescribed
(co-)management possibilities. The country adopted co-management approach to fisheries
management in the 1990s with a view to improve the fisheries stocks through community
enforcement of fishery management regulations. Co-management success has not been
that easy to measure or its results appreciated. In retrospect of overfishing, need is sought
to continue providing a range of empirical evidence of co-management interventions as
basis for designing realistic and innovative solutions for the nation. New policies and institutions
need to be informed by research developed to understand fisheries systems in order to
better promote sustainable trajectories. The after review recommendation to central
government is a coherent approach that uses and crystallizes multiple interests and skills of
co-management stakeholders. Most stakeholder groups have been involved in an ad hoc
fashion through workshops, public meetings and consultative processes mainly organised by
Department of Fisheries or projects. Stakeholders should be involved from the design of the
process to contributing at each step in the process, including the ongoing monitoring and
evaluation. A form of Memorandum of Understanding is suggested to formally set out a
process that acknowledges each stakeholder’s interests providing forums to facilitate
discussion, consultation and monitoring of management activities.
Malgré les récentes politiques d'optimisation de la gestion durable de la pêche, leur succès a
été modeste dans la pratique. Effort de pêche excessif et l'utilisation de méthodes de pêche
non durables attribués à des biens communs et le libre accès aux ressources par les flottes
locales et industriels conduisant à diminuer dans les prises de poissons a continué en présence
de possibilités actuellement prescrits (co) de gestion. Le pays a adopté une approche de
cogestion de la gestion des pêches dans les années 1990 en vue d'améliorer les stocks de
poissons à travers l'application de la réglementation communautaire de la gestion des pêches.
Succès Co-gestion n'a pas été aussi facile de mesurer ou de ses résultats apprécié. En rétrospective de la surpêche, nécessité cherche à continuer à fournir une gamme de preuves
empiriques des interventions co-gestion comme base pour la conception de solutions réalistes
et novatrices pour la nation. De nouvelles politiques et institutions doivent être informés par
la recherche mis au point pour comprendre les systèmes de pêche afin de mieux promouvoir
les trajectoires durables. La recommandation après examen au gouvernement central est
une approche cohérente qui utilise et cristallise de multiples intérêts et compétences des
acteurs co-gestion. La plupart des groupes de parties prenantes ont été impliquées dans un
mode ad hoc par le biais d'ateliers, de réunions publiques et de processus de consultation
principalement organisées par le ministère des Pêches et des projets. Les parties prenantes
doivent être impliquées dès la conception du processus de contribuer à chaque étape du
processus, y compris le suivi et l'évaluation continue. Une forme de protocole d'accord est
suggéré de mettre officiellement un processus qui reconnaît les intérêts de chaque acteur
organise des forums pour faciliter la discussion, la consultation et le suivi des activités de gestion.
Language:
English
Date of publication:
2014
Country:
Region Focus:
Southern Africa
University/affiliation:
Conference:
Collection:
RUFORUM Conferences and Workshops
Agris Subject Categories:
Agrovoc terms:
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Printed resource
Publisher:
ISSN:
E_ISSN:
Edition:
Extent:
661 - 678