Abstract:
The consumption and demand for fish is on the increase in Africa and Malawi in particular.
The supply of fish per person in the country has, however, been steadily decreasing such
that the per capita consumption of fish is less than 13-15 kg/year/person recommended by
the World Health Organisation (WHO). Aquaculture in Malawi stands as a solution to low
per capita consumption. The study was conducted in January 2014 to determine the profitability
and consumer preference of pond raised fish at Mpamba in Nkhatabay district. Data was
collected from groups of 30 fish farmers, 30 consumers, 1 District Fisheries Officer and 2
World Vision Malawi project staff. Stratified random sampling was used to select male and
female fish farmers and consumers. Within the stratified groups, a purposive sampling
technique was used to select farmers that had sold fish in the previous growing season to
capture costs and revenue. Data was collected using structured questionnaires, focus group
discussions and key informant interviews. Gross margin analysis was conducted to determine
profitability of fish farming. Gini coefficient was calculated to determine income distribution
of fish farmers. Descriptive statistics was done to determine consumer preference of pond
raised fish. Results suggest that fish farmers generate gross profits of MK32, 222.00
(USD83.78) and economic profits of –MK13, 978.00 (USD36.34). However, projected
costs and net cash flows using NPV over a 10-year period show that farmers will start
making positive net profits of MK9,279.81 (USD24.36) in the third year of production with
highest net profit of MK28,625.16 (USD75.13) in year 10. Gini coefficient of 0.5 was
calculated showing that there is unequal distribution of income among fish farmers. Preference
analysis shows that 48% of consumers prefer pond raised fish to wild fish. The study therefore
recommends that farmers produce more fish in order to increase profits from fish sales and
reduce income inequality.
La consommation et la demande de poisson est en augmentation en Afrique et au Malawi
en particulier. L’offre de poisson par personne dans le pays a toutefois cessé de diminuer de
telle sorte que la consommation de poisson par habitant est inférieur à 13-15 kg / an / personne comme recommandée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
L’aquaculture au Malawi se présente comme une solution à la faible consommation par
habitant. L’étude a été réalisée en janvier 2014 afin de déterminer la rentabilité et la préférence
des consommateurs de poissons élevés dans les étangs à Mpamba dans le district de
Nkhatabay. Les données ont été collectées auprès de groupes de 30 d’éleveurs de poissons,
de 30 consommateurs, d’un agent des pêches du district et 2 membres du projet personnel
de Vision Mondiale (World Vision) Malawi. L’échantillonnage aléatoire stratifié a été utilisé
pour sélectionner les éleveurs de poissons mâles et femelles et les consommateurs. Au sein
des groupes stratifiés, une technique d’échantillonnage raisonné a été utilisée pour sélectionner
les éleveurs qui avaient vendu du poisson dans la saison précédente pour capturer les coûts
et les recettes. Les données ont été recueillies à l’aide de questionnaires structurés,
discussions de groupe et des entretiens avec des informateurs clés. L’analyse de la marge
brute a été menée afin de déterminer la rentabilité de l’élevage de poissons. Le Coefficient
de Gini a été calculé pour déterminer la répartition des revenus des producteurs de poissons.
Les statistiques descriptives ont été effectuées afin de déterminer les préférences des
consommateurs de poissons d’étang. Les résultats suggèrent que les pisciculteurs génèrent
des profits bruts de MK32, 222.00 (USD83.78) et les bénéfices économiques de-MK13,
978.00 (USD36.34). Toutefois, les coûts prévus et les flux de trésorerie net en utilisant
VAN sur une période de spectacle de 10 ans que les agriculteurs vont commencer à faire
des bénéfices nets positifs de MK9, 279,81 (USD24.36) dans la troisième année de production
avec plus de profit net de MK28, 625,16 (USD75 0,13) dans 10 ans. Le Coefficient de Gini
de 0,5 a été calculé montrant qu’il existe une répartition inégale des revenus entre les
pisciculteurs. L’analyse des préférences montre que 48% des consommateurs préfèrent le
poisson élevé dans l’étant que le poisson à l’état sauvage. L’étude recommande donc que
les éleveurs produisent plus de poissons dans le but d’augmenter les profits de la vente de
poisson et de réduire les inégalités de revenu.
Language:
English
Date of publication:
2014
Country:
Region Focus:
East Africa
University/affiliation:
Collection:
RUFORUM Conferences and Workshops
Agris Subject Categories:
Agrovoc terms:
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Printed resource
Publisher:
ISSN:
E_ISSN:
Edition:
Extent:
351 - 358