Abstract:
Drier parts Eastern Kenya, endure persistent crop failure and declining agricultural productivity
which have been attributed, in part, to high temperatures, prolonged dry-spells and particularly
erratic rainfall. Understanding spatial-temporal rainfall variability is a key facet to agricultural
productivity and Natural Resource Management (NRM) in the region. However,
meteorological stations in the region are sole sources of climatic data but only limited to
single locations, far away from each other, with inadequate or inconsistent and missing
meteorological data. This study examined the extent of rainfall variability and the efficacy
of interpolation techniques in the arid regions, east of Kenya’s central highlands. Rainfall
raw data gaps were filled using multiple imputations. Cumulative Departure Index (CDI),
Rainfall Anomaly Index (RAI) and Coefficients-of-Variance (CV) and probabilistic statistics
were utilised in the analyses of rainfall variability. Evaluation of interpolation techniques
utilized the ArcGIS environmental tool combined with the digital elevation model (DEM) to
generate spatial rainfall maps under Spline, Kriging and Inverse Distance Weighting (IDW)
techniques whose efficacy was evaluated using root mean square errors (RMSE), mean
absolute errors (MAE) statistics and gauged-data validation. Analyses showed 90% chance
of below cropping-threshold rainfall (500 mm) exceeding 258.1mm (Embu) during short
rains (SRs) for one year return-period. Rainfall variability was found to be high in seasonal
amounts (CV=0.56) and in number of rainy-days (CV=0.88). Monthly rainfall variability
was found to be high during peak (April and November) (CV=0.48 and 0.76) with high
probabilities (0.67) of droughts exceeding 15 days. Dry-spell probabilities within growing months were high (81%) and (60%) in Machang’a and Embu respectively. Kriging technique
emerged as the most appropriate Geo-statistical interpolation techniques to be used in the
region. To optimize yield in the area, use of soil-water conservation and supplementary
irrigation, crop selection and timely accurate rainfall forecasting should be prioritized.
Le parties les plus sèches de l’Est Kenya, endure la persistance des mauvaises récoltes et
la baisse de la productivité agricole qui ont été attribuées, en partie, à des températures
élevées, à des saisons sèches prolongées et des précipitations particulièrement erratiques.
La compréhension de la variabilité spatio-temporelle des précipitations est un aspect clé de la productivité agricole et de la gestion des ressources naturelles (GRN) dans la région.
Toutefois, les stations météorologiques de la région sont les seules sources de données
climatiques, mais seulement limitées à des endroits simples, loin de l’autre, avec les données
météorologiques insuffisants ou incohérents et disparus. Cette étude a examiné l’étendue
de la variabilité des précipitations et de l’efficacité des techniques d’interpolation dans les
régions arides, à l’est de hautes terres centrales du Kenya. Les lacunes des données brutes
de précipitations ont été remplies à l’aide des imputations multiples. Le Cumulatif d’Index
de Départ (CDI), l’Index d’Anomalie de pluie (RAI), le Coefficients de Variance (CV) et
des statistiques de probabilités ont été utilisés dans les analyses de la variabilité des
précipitations. L’évaluation des techniques d’interpolation avait utilisé l’outil de l’environnement
ArcGIS combiné avec le modèle numérique d’élévation (DEM) pour générer des cartes
des précipitations spatiales sous Spline, Kriging et les techniques de la Pondération Inversée
de la Distance (IDW) dont l’efficacité a été évaluée à l’aide des erreurs quadratiques
moyennes (RMSE), moyenne absolue d’erreurs (MAE) des statistiques et des donnéescalibrées
de validation. Les analyses ont montré 90% de chance d’avoir moins de culture
sur le seuil de précipitations (500 mm) dépassant 258.1mm (Embu) pendant les pluies courtes
(SR) pour la période d’une année. La variabilité des précipitations a été jugée élevée en
quantités saisonnières (CV = 0,56) et du nombre de jours de pluie-(CV = 0,88). La variabilité
des précipitations mensuelles a été jugée élevée en période de pointe (avril et novembre)
(CV = 0,48 et 0,76) avec des probabilités élevées (0,67) des sécheresses de plus de 15 jours. La période des probabilités de sécheresse de la de croissance mensuelle était élevé
(81%) et (60%) dans Machang’a et Embu, respectivement. Les Technique de krigeage est
apparu comme les techniques les plus appropriés d’interpolation géostatistique à être utilisées
dans la région. Pour optimiser le rendement dans le domaine, l’utilisation de la conservation
des sols, de l’eau et l’irrigation d’appoint, la sélection des cultures et en temps opportun
précise la prévision précipitations devraient être une priorité.
Language:
English
Date of publication:
2014
Country:
Region Focus:
East Africa
University/affiliation:
Collection:
RUFORUM Conferences and Workshops
Agris Subject Categories:
Agrovoc terms:
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Printed resource
Publisher:
ISSN:
E_ISSN:
Edition:
Extent:
433 - 440