Abstract:
Grain cereal production gives rise to crop residues in the farm once the grain is
harvested or processed. The common residues include straw and husks of small grains
such as wheat, barley, rice, sorghum and pearl millet and stalks, husks and cobs of maize.
Most of these crop residues are either burnt, ploughed under or processed into animal
feed. In Botswana small-scale cereal yields are very low averaging 110kg/ha and the crop
residues are normally grazed in situ or ploughed in and are not a source of direct
additional income. The use of cereal residues in oyster mushroom (Pleurotus spp.)
production is one way of increasing income from a unit of land and improving the diet
of farmers since the mushrooms are a high-value crop and nutritious. The spent
mushroom substrate can be incorporated into small-stock feed. Botswana’s rain-fed
cereal grain yields are expected to decline further as rainfall becomes more erratic and
temperatures rise due to climate change. Incorporation of oyster mushroom production
into the cereal production system in Botswana can mitigate against food insecurity in
that farmers can get additional income from selling mushrooms. The innovation of this
study is the value-addition of low quality crop residues through production of high-value
mushrooms while the spent mushroom substrate can be a high-value animal feed. The
incorporation of mushroom production in cereal production could result in higher
income per hectare for small-scale farmers. This paper reviews the potential of
adopting oyster mushroom production for enhancing smallholder incomes in
Botswana.
La production céréalière donne lieu à des résidus de récolte dans la ferme une fois que les
grains sont récoltés ou transformés. Les résidus couramment rencontrés incluent la paille et les balles de petits grains comme le blé, l’orge, le riz, le sorgho et le mil perlé, ainsi que
les tiges, enveloppes et épis de maïs. La plupart de ces résidus de récolte sont soit brûlés,
enfouis ou transformés en aliments pour animaux. Au Botswana le rendement de cultures
de céréales à petite échelle sont très faibles et estimé à 110 kg / ha. Les résidus de cultures
sont normalement broutés sur place par les animaux ou enfouis dans le sol lors du labour
et ne constituent pas encore une source de revenu. L’utilisation de résidus de céréales
dans la production de pleurotes (Pleurotus spp.) est un moyen d’augmenter les revenus
provenant d’une parcelle agricole et d’améliorer le régime alimentaire des agriculteurs car
les champignons constituent une importante culture à grande valeur nutritive. Le substrat
de champignon usé peut être incorporé dans l’alimentation de petit bétail. Il est projeté
que les rendements de cultures pluviales de céréales au Botswana diminueraient de plus,
en ce sens que les pluies sont plus irrégulières et les températures augmentent à cause du
changement climatique. L’incorporation de la production de pleurotes dans le système de
production de céréales au Botswana peut réduire l’insécurité alimentaire en ce que les
agriculteurs peuvent obtenir un revenu supplémentaire de la vente de ces champignons.
L’innovation de cette étude est la valeur ajoutée des résidus de récolte grâce à la production
de champignons à grande valeur nutritive et l’utilisation du substrat de champignon usé
comme un aliment pour bétail à haute valeur ajoutée. L’incorporation de la production
de champignons dans la production céréalière pourrait se traduire par des revenus plus
élevés par hectare pour les petits exploitants agricoles. Cet article examine le potentiel de
l’adoption de la production de pleurotes pour améliorer les revenus des petits exploitants
au Botswana.
Language:
Date of publication:
2016
Country:
Region Focus:
Southern Africa
University/affiliation:
Volume:
14
Number:
Part 2
Pagination:
653 - 658.
Collection:
RUFORUM Working document series
RUFORUM Conferences and Workshops
Agris Subject Categories:
Additional keywords:
Licence conditions:
Open Access
Access restriction:
Form:
Web resource
Publisher:
ISSN:
1607-9345
E_ISSN:
Edition: