Harnessing higher education institutions’ capabilities in controlling trans-boundary animal diseases at the livestock-wildlife interface: the case for African swine fever in Uganda

Abstract: 
Uganda is the third largest pig producing country in Africa. However the pig industry in Uganda is currently threatened by African swine fever virus (ASFV) disease, which is a fatal, contagious viral haemorrhagic disease of domestic pigs, causing up to 100% mortality, and the disease has neither vaccine nor treatment. Harnessing the technological, research potential and community outreach strategies, Makerere University in partnership with government agencies, is using a community participatory epidemiology and molecular characterization approach to develop community-derived control strategies and genetic characteristics of the ASF virus. Through this effort the effectiveness of available molecular ASF diagnostic approaches and home ranges of domestic and wild pigs are being investigated. Seventy seven blood samples were collected from pigs during reported ASF outbreaks in selected pig farms in Uganda. The samples were analysed using a variety of molecular diagnostic approaches available at the molecular genetics laboratory at Makerere University. Preliminary results indicate that the samples tested positive for ASFV. In addition tracking collars (GPS/GSM) were used to monitor the movement patterns of free-ranging domestic pigs and wild pigs. Domestic pigs were mostly active during the nights, early mornings and in the evening. The bush pigs were active from the evening and throughout the night wandering between game reserves and farmlands. There was an overlap between free-ranging domestic pigs and bush pig activity times and this might be a contributing factor to the ASFV disease epidemics. The study involves training two MSc and four undergraduate students. It is anticipated that the trained students will add to the pool of home-grown scientists that can contribute to disease diagnostics prevention and control.
L’Ouganda est le troisième plus grand pays producteur du porc en Afrique. Pourtant, l’industrie du porc en Ouganda est actuellement menacé par le virus de la maladie de la peste porcine africaine (PPA), qui est une maladie mortelle, contagieuse virale hémorragique des porcs domestiques, causant jusqu’à 100% de mortalité, et la maladie n’a ni vaccin, ni traitement. Utilisant les stratégies de sensibilisation technologiques, le potentiel de recherche ; et de l’engagement communautaire, l’Université de Makerere en partenariat avec les organismes gouvernementaux, utilise une épidémiologie participative communautaire et l’approche de la caractérisation moléculaire pour développer des stratégies de contrôle inspirées par la communauté et les caractéristiques génétiques du virus de la peste porcine africaine. Grâce à cet effort l’efficacité des approches de diagnostic moléculaire de la PPA disponibles et l’élevage en liberté des porcs domestiques et des porcs sauvages ont été étudiés. Soixante-dix-sept échantillons de sang ont été prélevés sur des porcs pendant les épidémies de peste porcine africaine signalées dans élevages de porcs sélectionnés en Ouganda. Les échantillons ont été analysés en utilisant une variété d’approches de diagnostic moléculaire disponible au laboratoire de génétique moléculaire à l’Université de Makerere. Les résultats préliminaires indiquent que les échantillons ont testé positifs pour le virus de la PPA. En outre, les colliers de repérage (GPS / GSM) ont été utilisés pour surveiller les habitudes de déplacement des porcs domestiques en liberté et des porcs sauvages. Les porcs domestiques étaient surtout actifs pendant les nuits, tôt le matin et le soir. Les porcs sauvages étaient actifs dans la soirée et toute la nuit à errer entre les réserves de chasse et des terres agricoles. Il y avait un chevauchement entre les périodes d’activité de porcs en liberté et des porcs sauvages, ce qui serait un facteur contribuant aux épidémies de la PPA. Cette étude contribue à la formation de deux étudiants Master et quatre étudiants de premier cycle. Il est prévu que les étudiants formés vont s’ajouter au nombre de scientifiques formés localement qui peuvent contribuer à la diagnostique, la prévention et le contrôle des maladies.
Language: 
Date of publication: 
2016
Country: 
Region Focus: 
East Africa
Volume: 
14
Number: 
Part 2
Pagination: 
139-143.
Collection: 
RUFORUM Working document series
RUFORUM Conferences and Workshops
Agris Subject Categories: 
Licence conditions: 
Open Access
Access restriction: 
Form: 
Web resource
Publisher: 
ISSN: 
1607-9345
E_ISSN: 
Edition: 
Notes: