Factors affecting sweetpotato production and soil fertility challenges among smallholder farmers in Kenya

Abstract: 
Sweetpotato (Ipomea batatas) is an important food crop in Kenya, but farmers experience low production and thus their food and income security is threatened. This study was done to document factors affecting sweetpotato production and soil fertility challenges in Kenya. A survey was carried out between 21st January 2016 to 13th February 2016 in Kakamega and Elgeiyo Marakwet Counties in Kenya using structured interviews and observations. The features factored in the study were demographic factors, ranking of crops, access to agricultural information, soil fertility challenges and strategies used by the farmers to overcome these constraints. Results indicate that women are the predominant (55.9 %) sweetpotato growers. Majority of the farmers (54.6 %) had attained primary education. Individual land ownership was the norm (76.3 %) with most farms owing 1.0 to 3.0 acres (0.3 - 1.1 ha). Sweetpotato was ranked as the third most important (48.0 %) crop. Many farmers (61.2.0 %) get planting material from other farmers. High cost of fertilisers and low soil fertility in addition to soil erosion were the major soil fertility challenges experienced by sweetpotato growing farmers in west Kenya. Rotational cropping, intercropping and use of animal manure were among the strategies undertaken by the farmers to improve soil fertility. The study used OLS regression to determine the level of productivity per acre. Diagnostic test before regression analysis was carried out. The statistic F (6, 143) = 12.18 ( p < 0.05) indicated that factors which include agro-ecological zone, access to agricultural information, sweetpotato variety and use of fertilizer explained 31 per cent variation in productivity levels per acre. The OLS results indicate that the base level productivity is approximately 38 bags per acre with other significant factors being the sweetpotato variety, agro ecological zone, access to agricultural information and use of fertiliser (organic/ inorganic). It can be concluded that the low level of education among the smallholder farmers necessitates simpler ways of disseminating agricultural information. Training on use of fertilisers should be given priority to avoid continuous cropping without mineral replenishment.
La patate douce (Ipomea batatas) est une culture alimentaire importante au Kenya, mais les producteurs connaissent une faible production, ce qui menace par conséquent, leur sécurité alimentaire et leur revenu. Cette étude a été réalisée pour documenter les and Elgeiyo Marakwet Counties, in Kenya using structured interviews and observations. facteurs affectant la production de la patate douce et les problèmes de fertilité de sols au Kenya. Une enquête a été menée entre le 21 janvier et le 13 février 2016 dans les comtés de Kakamega et Elgeiyo Marakwet au Kenya au moyen d’entretiens structurés et d’observations. Les caractéristiques prises en compte au cours de l’étude étaient les facteurs démographiques, le classement des cultures, l’accès à l’information agricole, les problèmes de fertilité de sols et les stratégies utilisées par les agriculteurs pour surmonter ces contraintes. Les résultats indiquent que la plupart des producteurs de patate douce sont des femmes (55,9%). Le niveau d’éducation atteint par la majorité des producteurs (54,6%) est l’enseignement primaire. La propriété foncière individuelle était la norme (76,3%) avec des superficies allant de 1,0 à 3,0 acres (0,3 à 1,1 ha). La patate douce a été classée comme la troisième (48,0%) plus importante cultures. Nombreux producteurs (61 2,0%) reçoivent du matériel de plantation de leurs paires. Le coût élevé des engrais, la baisse de la fertilité des sols, en plus de l’érosion des sols sont les principaux problèmes de fertilité de sols rencontrés par les producteurs de patate douce à l’ouest du Kenya. La rotation des cultures, l’association des cultures et l’utilisation de la fumure animale font partir des stratégies utilisées par les producteurs pour améliorer la fertilité du sol. L’étude a utilisé la régression MCO pour déterminer le niveau de productivité par acre. Le test diagnostic avant analyse de régression a été effectué. La statistique F (6, 143) = 12,18 (p <0,05) a indiqué que les facteurs tels que la zone agroécologique, l’accès à l’information agricole, la variété de patte douce et l’utilisation d’engrais expliquent 31 % des variations de niveaux de productivité par acre. Les résultats de la régression MCO indiquent que le niveau de productivité de base est d’environ 38 sacs par acre, avec la variété de patate douce, la zone agro-écologique, l’accès à l’information agricole et l’utilisation d’engrais (organique / inorganique) comme autres facteurs significatifs. On peut donc conclure que le faible niveau d’éducation des petits producteurs nécessite de plus simples moyens de diffusion de l’information agricole. La priorité doit être mise sur la formation à l’utilisation des engrais afin d’éviter les cultures continues sans reconstitution minérale.
Language: 
Date of publication: 
2016
Country: 
Region Focus: 
East Africa
University/affiliation: 
Volume: 
14
Number: 
Part 2
Pagination: 
695 - 705.
Collection: 
RUFORUM Working document series
RUFORUM Conferences and Workshops
Agris Subject Categories: 
Licence conditions: 
Open Access
Access restriction: 
Form: 
Web resource
Publisher: 
ISSN: 
1607-9345
E_ISSN: 
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